mardi 30 décembre 2014

CROWN chapitre 4

CROWN chapitre 4 (la lettre, le départ)
Jules ne parvenait pas à fermer l'oeil, tous les événements de la journée trottaient dans sa tête, il regarda l'heure. Il était pratiquement 9h et quart. Il se leva sur la pointe des pieds et sortit de sa chambre. On entendait les échos du poste de télé. Surement Josiane qui était au salon. Il se dirigea vers le fond du couloir, et ouvrit la porte de la dernière pièce. Il s'agissait de la chambre de Clémence, elle était éclairée.
- Qu'est-ce que vous faites toutes là ? demanda Jules, intrigué.
Clémence, Léa et Pauline était assise sur le lit, l'air aussi perturbé que Jules.
- Toi non plus tu n'arrives pas à dormir ? demanda Léa, l'air grave.
Jules vint rejoindre ses soeurs et s'assit sur le lit.
- C'est évident, on a tous besoin de savoir ce qui c'est passé, pour la mort de maman... intervint Clémence.
- Tu as raison ! affirma Léa.
- Mais par ou commencer les recherches ? En plus, y'a Josiane qui dort au salon... s'interposa Pauline.
- J'ai une idée ! dit soudain Léa. Vous savez... J'ai installé une apli, sur mon téléphone et grâce aux caméras de surveillances que maman à installée l'année dernière, je peux voir Josiane dormir ...
- Bonne idée ! Vas-y lance l'apli... approuva Jules.
- Je vais commencer par regarder si j'ai pas des livres qui pourraient nous intéresser et nous aider...
affirma Clémence qui se pencha vers sa table de nuit, ou une pile de livres l'attendait. Elle en prit un,  mais semblait soudain stupéfaite.
- Qu'est-ce qu'il y'a Clémence ? s'interrogea Jules.
- Ses livres ne sont pas à moi ! lança t-elle étonnée.
Elle feuilleta le premier livre, et un papier s'échappa de la première page. Jules s'en saisit et lu l'inscription écrite sur l'enveloppe.
- Si vous trouvez cette lettre, lisez vite. H.C.
Le message était curieux. Et l'enveloppe était encore fermée.
- Venez voir ! clama Jules à ses soeurs qui s'attroupèrent autour de lui. Clémence saisit la lettre, l'ouvrit et commença à lire .
- " Mes chers enfants, Je savais que vous alliez trouver ce document grâce à Clémence. Malheureusement en de si mauvaises circonstances. Ma mort ne pouvait être évitée, il fallait bien un jour qu’il l’apprenne, mais les choses se sont précipités, plus tôt que je ne le pensais. J’en suis vraiment désolée, celui qui vous en veut est prêt à tout pour obtenir ce qu’il cherche et ne vous laissera aucune chance, ne lui barrez pas le chemin. Vos vies en seraient condamnées. Vous devez partir, au moment même ou vous venez de lire cette lettre, maintenant n’attendez plus ! Une heure de plus est votre mort est signée . Et les choses seraient si atroces que je n’ose vous en parler ! Ne tentez en tout cas de prévenir personnes, leurs vies seraient anéanties . 
Vous devez avoir une explication de tout ça,
Je ne peux malheureusement m’étendre sur le sujet, Vous devez survivre, Le plus longtemps possible, le vaincre d’une façon autre que de vous montrer, sans cela votre espérance de vie s’affaiblira .
Prenez soin de vous, Votre maman qui vous aime.
Ps : Retrouvez Rose-Mathilde, elle seule vous mettra hors de danger .
43 rue des embruns à BELFORT, gardez la lettre avec vous. "

Les quatre enfants étaient bouche-bée, ils venaient de trouver un indice bien étrange.
- Se serait pas un piège... de l'assassin ? s'interrogea Pauline.
- Non c'est maman c'est sûr ! On doit la croire... affirma Léa.
- Et pis même, je reconnais son écriture, elle seule pourrait savoir que Clémence trouverait ses livres ! prouva Jules. Ses soeurs étaient d'accords, mais une question restait maintenant.
- Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? demanda Pauline.
- Je penses qu'il faut attendre demain pour parler de cette lettre au commissaire. affirma Clémence.
- Moi je penses pas, vous avez lu ce qu'à écrit maman dans la lettre, elle a dit de partir immédiatement, et de prévenir personnes. après tout... ce sont ses derniers mots. J'penses qu'il est préférable de faire ce qu'elle nous dit. tenta Jules pour convaincre ses soeurs.
- Oui tu as raison, alors dépêchons de préparer nos affaires ! répondit Léa.
- Bon il faut qu'on se prépare, mais pour combien de temps, je sais pas, et ou on va je sais pas vraiment non plus... affirma Jules.
- Moi j'emporte mon GPS ! dit Léa.
- Moi, je prend une carte... au cas ou y'est plus de réseau... affirma Clémence.
- Et moi j'emmènes ma trousse à maquillages, environ 6 t-shirts, 4 pantalons...
Jules coupa net à la longe serie de Pauline.
- Pauline, c'est pas qu'on s'en fout, mais le temps est compté, prend le strict minimum... Et on se dépêche !
Les enfants s'activent à préparer leurs affaires. Une fois près, ils se rejoignent dans la chambre de Pauline et Léa.
- Bon tout le monde est près ? demanda Jules.
- Oui ! affirma Léa. Passons par là . Elle montre la porte fenêtre de la chambre. Les enfants sortirent un par un et se dirigèrent vers le garage. Ils entrèrent et prirent chacun un vélo.
- Tout le monde est prêt ? Léa t'as réglé ton GPS ? demanda Jules quand tout le monde s'était installé sur le vélo.
- Oui c'est bon ! affirma Léa.
Et c'est dans la nuit totale que les enfants prennent la route de l'étrange destination que leur a conseillée leur mère, Belfort !

voici la bande-annonce de CROWN partie 1 :
 https://www.youtube.com/watch?v=JNRP8taLhNA&list=UUQMG5uzQFvwh0GLfeWgrdJw
image tirée du film

 La suite...bientôt










lundi 29 décembre 2014

CROWN : chapitre 3 ( l'annonce )

CROWN : chapitre 3
Les enfants, terrorisés, sortirent de la salle en silence. Jules, lança un dernier regard à Justine qui paraissait perplexe . Monsieur Courtoit s'approcha d'un homme qui attendait les bras croisés dans le couloir.
- Bon... Les enfants, je vous présente Monsieur Duponton... qui est commissaire à la gendarmerie de Besançon.
La voix du proviseur avait changé de timbre, elle était plus fragile, plus lente, lui même semblait mal à l'aise se qui inquiéta d'avantage Clémence, Jules, Pauline et Léa. Les enfants saluèrent le commissaire qui leur adressa un petit sourire maladroit. Il était grand, mince, et chauve. Ce qui lui donnait un air glacial. Malgré cela, son sourire le rendait un peu moins antipathique.
Le proviseur s'adressa au commissaire.
- Voulez-vous les interroger dans mon bureau ?
le commissaire hésita avant de déclarer qu'il préférait les interroger au commissariat. Monsieur Courtoit acquiesça, et laissa partir le commissaire accompagné des quatre enfants qui s'échangeaient des regards interloqués. Clémence, n'osait même plus regardez ses frères et soeurs, Pauline se mordait les lèvres, Léa se rongeait les ongles, et Jules était complètement désorienté.
Arrivés au commissariat, Monsieur Duponton les accompagna jusqu'à son bureau. Les quatre enfants prirent place, face au commissaire qui avait perdu le sourire. Il avait soudain l'air grave.
- Vous vous demandez surement pourquoi je vous ai fait venir à mon bureau, pendant vos heures de cours ?
Les enfants acquiescèrent, tremblants à l'idée de ce qu'allait leur apprendre Monsieur Duponton.
- J'ai été chargé... par l'ensemble de l'équipe des inspecteurs pour vous communiquer un fait, un fait qui s'est déroulé à votre domicile ce matin vers 10 heures.
Un courte pose suivit la déclaration du commissaire, celui ci repris de plus en plus grave .
- le choc... risque... d'être très rude...
Cette fois ci les enfants avaient peur, peur de la suite, peur de ce qu'ils allaient apprendre. Mais le commissaire continua.
- Un de vos voisins, à découvert ce matin... Votre mère, votre mère blessée, gravement. Elle a été transférée vers l'hôpital Pasteur...mais son état étant très grave... elle est décédée... vers midi.
Le temps s'arrêta. Pauline lâcha un sanglot, de peur et de stupéfaction.
- Comment ? demanda Jules. Nan... C'est pas possible... maman n'est pas...
- Je suis... vraiment désolé de vous l'apprendre si durement... Mais votre maman est bel et bien décédée.
 Clémence fondit en larme, et enlaça sa soeur Pauline. Léa cacha sa tête dans ses mains pour pleurer... Et Jules n'y croyait plus... Leur mère, celle qui ce matin encore les avait enlacés, embrassés, celle qui les avaient élevés, ne pouvait pas être morte...
- Nos services ont contactés une dame pour vous récupérer jusqu'à nouvel ordre... Je vais donc contacter Josiane Potaufeux qui va venir vous récupérer.
Le commissaire pris son téléphone, composa un numéro et demanda à voir une dame pour venir chercher les enfants.
Josiane vint les chercher et ils rentrèrent chez eux, ils passèrent l'après-midi, chacun dans leur chambre pour pleurer à n'en plus finir. Jules revoyait les images de sa journée, le mot de Justine, l'arrivée du proviseur, et l'annonce du commissaire, il entendait encore cette phrase, cette phrase qui leur annonçait le décès de leur mère. et il l'imaginait, elle, leur maman qui les aimaient tant, allongée sur le sol.
- Nannn ! il poussa un cri qui lui déchira les poumons.
c'était le soir, Josiane n'avait pas préparée de repas, elle s'avait que les enfants n'auraient pas faim, et elle les appela pour leur demander d'aller se coucher. Ils acceptèrent à contre coeur, mais ils ne parvenaient pas à fermer l'oeil.
voici la bande-annonce de CROWN partie 1 :

image tirée du film
La suite... bientôt !


dimanche 28 décembre 2014

CROWN : chapitre 2

Le lendemain, les quatre enfants se préparèrent pour aller au collège. Pauline se maquillait dans la salle de bain, tandis que Clémence la rejoint pour se brosser les dents. Soudain des exclamations venues de la pièce voisine retentirent .
- Ah ! J'crois que Léa vient de réveiller Jules ! ricana Pauline.
- Faudrait qu'il apprenne à être plus ponctuel, on va être en retard au collège ! se lamenta Clémence.
Dans le couloir, c'était la guerre.
- Allez dépêche toi ! On va être en retard ! s'impatientait Léa.
- Oh mais Léa ! T'aurais put me réveiller en douceur au moins ! S'exclama Jules faisant irruption de sa chambre .
- Arrête de te chercher des excuses, va manger ! Ton lait va être froid... annonça sèchement Léa.
Jules lui répondit d'une moue agacée.
Enfin prêt, les quatre enfants firent la bise à leur mère qui les serra bien fort contre elle, leur demandant d'être prudents. Comme chaque matin, ils étaient en retard, et se hâtèrent tout au long du chemin qui menait au collège. Pauline, de peur d'abimer ses chaussures avait pris un peu de retard.
- Pauline dépêche toi ! On va être en retard ! s'exclama Léa haletante.
- Oh la la ! Et mes bottines, elle vont s'abîmer ! Aucun prétexte n'est valable pour contester mon swag ! se lamenta t-elle.
Arrivés au collège, les enfants se dépêchèrent de rejoindre leur salle de classe. l'institution St Belmond étant un minuscule collège, les quatre frères et soeurs étaient tous dans la même classe.
Clemence frappa à la porte de la salle 6. Madame Malard, la professeur de Mathématiques les accueillit froidement. Derrière ses petites lunettes, elle leur envoya un regard noir qui leur glaça le sang.
- Désolé pour notre retard... Nous avons eu un problème de ... se lança Clémence .
- Encore ! Installez-vous vite en silence.  Coupa net madame Malard.
Et sous son regard perçant, les quatre enfants s'assirent à leur place respectives. Clémence, était assise au premier rang à côté de Manon, sa meilleure amie, qu'elle salua discrètement tout en sortant ses affaires.
- C'est encore ton frère qui a eu une panne de réveil ! l'interrogea Manon amusée.
- Oui... soupira Clémence dépitée.
Jules, lui, s'installa à côté de Dave. A peine avait il sortit ses affaires, qu'il interpella Adi, son meilleur ami pour entamer une discussion dans le dos de madame Malard qui continuait son cours.
Pauline, elle, s'était installée à côté de Kelly, sa confidente, aussi la soeur de son petit copain, Jordan.
- Comment va t-il ? Questionna Pauline.
- Très bien ! Lui et son équipe de basket viennent de gagner la championnat académique ! Il est aux anges, et il a dit qu'il passerait te voir cette semaine !
- Oh c'est super, embrasse le bien de ma part ! répondit Pauline.
Léa de son côté s'était installée à côté de Mathilde, une amie à côté de laquelle elle était dans chaque cours.
- Salut ça va ? la salua Mathilde.
- Ouais... mais mon frère m'a trop saoulé ce matin, j'ai pas envie de me prendre un mot à cause de lui ! affirma Léa, furieuse.
- T'inquiète ! La vieille est d'humeur c'matin ! Plaisanta Mathilde.
La blague fit sourire Léa qui ne put s'empêcher de rire avec son amie.
La matinée se déroula calmement, la récréation de 10h30 sonna. Les élèves sortirent de classe et s'installèrent en petits groupes d'amis. Jules était assis sur un banc, son ami Adi vint le rejoindre.
- Salut Jules, ça va ? demanda Adi.
- Ouais... tu l'a vu ? l'interrogea Jules, un peu confus.
- Quoi ? demanda Adi, curieux.
- Ben... La nouvelle coupe de Justine ... elle est trop belle comme ça tu trouves pas ? 
- Ouais... Tu ne la trouvais pas déjà belle avant ? questionna Adi à son ami qui semblait troublé. 
- Ben si mais ça fait quelques choses comme ça ! affirma Jules, un peu gêné.
- Ah l'amourrrr ! soupira Adi un sourire aux lèvres.
Soudain Jules se dressa, Saluant un petit groupe de filles non loin de là. il marmonna à Adi.
- Fait gaffe elle me regarde !
Justine, la fille que Jules qualifiait comme la plus craquante du collège s'était retourné, un magnifique sourire aux lèvres. Jules, lui répondit d'un petit sourire niet tandis que la cloche retentit. Les élèves rejoignirent leurs salles respectivent. Les enfants se rendirent en Anglais, ou Madame Nelson, la prof surnommée la bigleuse par ses élèves les accueillit .
- Good Morning Ladies & Gentlemen ! clama t-elle à sa classe qui répondit en choeur :
- Good morning miss !
- Now, sit down please ! répondit-elle.
Pendant que madame Nelson éffectuait l'appel, Clémence, qui détestait les cours d'Anglais lisait discrètement un livre sous son pupitre. Jules qui n'aimait pas moins l'Anglais aux autres matières s'ennuyait, affalé sur sa table. Quand soudain, une grosse boulette de papier atterrit sur sa tête. Jules se dressa instinctivement guettant aux alentours pour découvrir son interlocuteur. il ouvrit la boulette . Il s'agissait d'un mot d'un écriture féminine qui embaumait un parfum délicieux de fruits exotiques.
Il la lue discrètement. 
"Juju, J'ai vu que tu rougissais parfois en me voyant en classe et Pauline m'a dit que tu me trouvais super craquante, est-ce que c’est vrai ? retrouvons nous sur le banc de pierre en demi cercle au centre de la cour à la récré de 15h. viens seul. Et c'était signé : Justine Lagrange " .
A la vue du destinataire Jules ne put s'empêcher un cris de joie. Madame Nelson, qui avait remarqué l'inattention de son élève se retourna et lui lança tout net.
- Jules ! Tu viens me voir ce soir, pour deux heures de colles !
Jules était complètement désemparé...
- Comment mais...
A cet instant précis, la porte s'ouvrit claquant contre le mur. Le proviseur fit irruption dans la salle.
Salué par les chaises des élèves qui se levèrent.
- Bonjour Monsieur le directeur ! s'exclamèrent-ils tous.
- Bien ! Asseillez-vous. Lança Monsieur Courtoit de sa voix grave.
il continua s'avançant vers madame Nelson, qui avait été un peu surprise par l'arrivée soudaine de son supérieur .
- J'aimerais voir, Clémence, Jules, Pauline et Léa Chalier. Madame Nelson, je peux vous les prendre ? questionna monsieur Courtoit.
- Eh bien... faites ! annonça t-elle.
- Bien... les enfants suivez-moi, et prenez vos affaires !
Clémence, Jules, Pauline et Léa étaient perplexes, aussi bien étonnés qu'horrifiés, l'appel de leur nom par le proviseur sonnait comme un terrible présage.

La suite... bientôt !

CROWN : chapitre 1


CROWN début de l'histoire
C'était un bel après-midi de printemps, chaud, doux, les premières douceurs de l'été se faisaient déjà ressentir. Nous sommes à Châtel les roches, un petit village du jura. Au 6 rue du Simplon, une petite maison assez simple et plutôt rustique. La famille Chalier qui y habitait, était d'ailleurs tout aussi simple, et semblait à première vue être une famille parfaitement ordinaire. La mère de famille, Hélène, élevait seule ses quatre enfants depuis la mort de son mari une dizaine d'années au part avant. Clémence, l'ainée, jeune fille sage et réservée, passionnée de littérature et d'histoire, c'était installé dehors pour profiter des dernières lueurs du jour devant un bon livre comme elle en avait l'habitude, rien de plus au monde n'aurait put la satisfaire. C'est sans compter l'arrivée de son frère Jules, rapportant le pain du diner sur son vélo jaune. Agé d'un an de moins que sa soeur, il était le seul garçon d'une famille de filles, sensible et maladroit, il avait une âme sportive et aimait bien taquiner ses soeurs. Il passa devant Clémence un rictus aux lèvres.
- Hé la flemmarde, va mettre la table !
Clémence lui répondit d'une moue agacée .
C'est à cet instant précis que, deux jeunes filles sortirent de la maison. Elles se disputaient pour savoir qui mettrait les sets de tables ou les assiettes. Pauline et Léa, les deux dernières de la famille sont fausses jumelles, Pauline, jeune fille coquette et fragile aime pourtant bien se disputer avec Jules. Tandis que Léa, complice de Jules, se passionne beaucoup pour la technologie.
Sous le cris de guerre d'Hélène, tout ce petit monde se rejoint pour un diner en famille dehors, aux dernières lueurs du jour. Sans le savoir, ce fut le dernier avant qu'un drame terrible, un départ, une aventure, ne fasse de cette famille ordinaire une famille hors du commun... voici la bande-annonce de CROWN partie 1https://www.youtube.com/watch?v=JNRP8taLhNA&list=UUQMG5uzQFvwh0GLfeWgrdJw

image tiré du film

mercredi 10 décembre 2014

Dernier plan du film... sous un couché de soleil vu des ruines de Montfaucon











- Le 15 novembre 2014 le tournage de CROWN s'achève, et c'est aux ruines de Montfaucon que le film prend fin. Un magnifique décor qui sera à découvrir bientôt lors de sa parution.













samedi 6 décembre 2014

4 ans, les mêmes projets !


Le CEMA, le 12 avril 2012, 4 ans, 1550 jours, 37200 heures, 133920000 secondes, et les mêmes projets... 1 site, 1 film, 1 centre, 1 cagnotte etc. Certains se réalisent d'autres attendent leur tour, mais on a jamais baissé les bras !